Gamme | Daily driver |
Marque | Ferrari |
Type | 365 GTB/4 |
Carrosserie | Coupé 2 places |
Production | 1284 exemplaires |
Première mise en circulation | |
Couleur carrosserie | Rouge |
Couleur intérieure | Cuir noir |
Moteur | 12 Cylindres, 6 carburateurs |
Cylindrée | 4390 cm2 |
Puissance | 352 ch DIN |
Boite de vitesses | Mécanique à 5 rapports |
Dimensions | L : 4,42m - l : 1,76m |
Options | |
Particularités | Modèle rare livré neuf en France |
Kilométrage | 19 600 km compteur |
Garantie | 12 mois |
Prix | 660 000 € |
FERRARI 365 GTB/4
La Ferrari 365 GTB/4 fut présentée au salon de Paris de 1968. Elle remplaça la 275 GTB en conservant le fameux moteur V12 ‘’Columbo’’ en portant sa cylindrée à 4.4 (4390 cm3), soit 365 cm3 par cylindre, d’où son nom. Ce dernier, alimenté par six carburateurs Weber développait une puissance de 352 ch lui permettant d’atteindre 280 km/h et d’abattre les 1000 mètres en 24 secondes. Sa tenue de route efficace et son excellent équilibre étaient dus à une bonne répartition des masses. Sa conception la démarquait de ses concurrentes par la position avant du moteur et arrière de la boîte de vitesses. Sa suspension à roues indépendantes lui permettait d’exploiter franchement sa puissance et lui offrait un comportement routier hors du commun. Les premières versions étaient dotées de phares placés derrière une baie en acrylique. En 1971, obéissant à de nouvelles normes américaines, cette face avant fut remplacée par des feux sous couvercles rabattables. Les versions outre-Atlantique voyaient également leur taux de compression réduit et leur échappement modifié.
Les lignes de cette auto étaient superbes et fidèles à l’esprit de la marque. Elles étaient l’œuvre de Leonardo Fioravanti, designer chez Pininfarina. Cependant, seul le premier exemplaire sortit de ses ateliers. La production fut effectuée par le carrossier Scaglietti. C’est la presse qui donnera à la 365 GTB/4 le nom de Daytona. Cela était un clin d’œil faisant suite à la victoire du constructeur italien aux 24 heures de Daytona en février 1967. Deux 330 et une 412 figurèrent en tête sur la ligne d’arrivée.
A partir de 1969, la 364 GTB/4 débutera sa carrière en course. Un premier modèle, en aluminium, fut élaboré pour les 24 Heures du Mans. Malheureusement, une sortie de route lors des essais stoppa son engagement à cette épreuve. Fin 1970, Ferrari se relancera dans la compétition. C’est alors que trois séries de cinq voitures furent successivement produites. La première était assez proche du modèle d’origine. La carrosserie était en alu et la mécanique d’origine était conservée. Le verre des vitres latérales était remplacé par du plexiglas. La seconde ne conservait que le capot, le coffre et les portes en aluminium. Les passages de roues étaient élargis pour recevoir de plus gros pneumatiques. Des réglages appliqués au moteur poussaient sa puissance à 400 ch. La troisième série ne conservait que le coffre et le capot en aluminium. La puissance était portée à 450 ch. Ces caractéristiques lui permirent de se tailler une place de choix dans la compétition automobile. Cependant, aucun pilote n’appartenait à Ferrari. Tous étaient des privés.
Parmi quelques trophées, on note une cinquième place au classement général du Mans en en 1971, cinq premières places en GT et une seconde position au classement général des 24 H de Daytona en 1979, cinq ans après la fin de production en 1973, date où elle laissera sa place à la Berlinette 365 GT/4 à moteur central. La’ ’Daytona’’ n’a été produite qu’à 1284 exemplaires en coupé et à 122 en découvrable.
Dans les années 80, certaines berlinettes ont vu leur toit être raboté pour être transformées en cabriolets. Des copies en résine furent également produites sur une base de Chevrolet Corvette. Cela sera par exemple le cas du modèle de la série américaine Miami Vice, ce qui déchainera la colère de Ferrari. Ce dernier fit retirer la voiture du tournage et offrit au producteur deux vraies Testarossa. La ‘’Daytona’’ est devenue un mythe. Elle a été élue en 2004 ‘’meilleure voiture de sport’’ des années 70. Ses qualités, son histoire et sa rareté ont fait augmenter sa côte peu à peu et l’ont rendue très prisée des collectionneurs à travers le monde.
Le modèle proposé.
L’exemplaire présenté a été livré neuf en France le 13 décembre 1972. Ses caractéristiques techniques sont donc européennes. La couleur rouge Ferrari de sa carrosserie et son intérieur en cuir noir sont des grands classiques de l’époque. C’est une ‘’vraie’’ Ferrari. Cette voiture est toujours restée en Europe. Elle a été conservée et entretenue comme il se doit. Son dernier propriétaire, collectionneur d’autos prestigieuses, la détient depuis plusieurs années. Son fonctionnement est conforme à celui qu’on attend d’une telle voiture. L’acquérir est posséder un mythe du constructeur transalpin. C’est également investir dans un bel objet à l’élégance et à la noblesse reconnues des amateurs de la marque.
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